BLU Magazine paraît trois fois par an en print. Il est envoyé à tous les collaborateurs du Groupe KBC en Belgique. Sa vocation n’est pas de commenter l’actualité (c’est plutôt la mission des canaux online), mais bien d’approfondir les sujets. Une approche qui sied idéalement au print.

Pour atteindre cette profondeur de traitement, nous n’abordons qu’un seul thème par numéro. Ces thèmes revêtent à chaque fois une importance stratégique, comme la diversité, le changement technologique ou l’écoresponsabilité au sein de KBC. 

Les thèmes choisis sont bien sûr pertinents, mais aussi interpellants par leur sujet et leurs implications. C’est d’ailleurs là le secret de BLU : proposer du deep content de manière à la fois percutante et subtile.

Les 15 ingrédients du succès

1.

Pour que nos couvertures soient créatives, nous prenons le temps qu’il faut. Nous réfléchissons beaucoup pour créer un champ d’interaction optimal entre l’image, la mise en page et le texte.

2.

Un thème épineux ? Nous l’abordons avec légèreté. Au lendemain de la pandémie, recommence-t-on à se faire la bise, ou non ? Dans notre numéro consacré aux ‘Changements post-corona’, nous abordons un thème controversé : les nouvelles manières de se dire bonjour.

3.

À l’écoute aussi des récits douloureux. Dans le numéro consacré au Changement, nous avons consacré un émouvant reportage à un restaurateur d’Eupen qui, un mois après avoir rouvert son établissement suite à la pandémie, a vu le fruit de son travail dévasté par les dramatiques inondations de juillet 2021.

4.

Beaucoup de variété dans les formats. En illustration, une visual story sur 10 années de changement(s) au sein de KBC.

5.

Les portraits marquants sont une des valeurs sûres d’un magazine. Le principe selon lequel l’intéressé·e doit regarder l’objectif est dépassé. Une photo doit interpeller, et il existe de multiples manières d’y arriver.

6.

Vive les visuels thématiques ! De nombreux clients privilégient les photos-portraits pour leur magazine, pour le ‘visage humain’. Certes, une publication doit séduire émotionnellement, et donc proposer des portraits, mais les visuels thématiques ne doivent pas être oubliés pour autant.

7.

Pour faire vivre un thème abstrait, rien de tel que les illustrations.

8.

Ou les collages. Pour illustrer la diversité, voici une jolie barbe collée sur un visage féminin !

9.

Pour les portraits, nous recherchons la variété et l’originalité. Ici, la photo d’une analyste de KBC dans le numéro ‘Technologie’.

10.

Sympa pour le budget (et sympa tout court) : les spreads et pages purement graphiques apportent de la variété.

 

100% texte, dans le numéro ‘Technologie’ : pour illustrer les dangers des assistants ‘intelligents’.

11.

Une interaction physique dans le magazine en lui-même. Ici, un dialogue entre la couverture et la couverture arrière du numéro ‘Technologie’.

12.

Quel thème aborder via votre magazine ? Nous recommandons des thèmes qui sont au cœur de votre stratégie d’entreprise, et sur lesquels il y a donc beaucoup de choses à dire. Ici, une infographie sur l’écoresponsabilité : le 7 défis du Green Deal chez KBC.

13.

On plonge au cœur du groupe cible, en proposant le portrait de monsieur/madame-tout-le-monde. Dans le numéro ‘Écoresponsabilité’, chaque section du magazine est introduite par la présentation d’un·e collègue tout ce qu’il y a de plus ordinaire.

14.

De temps en temps, on s’éloigne du groupe cible en donnant la parole à des personnes externes à l’entreprise. Ainsi, dans le numéro ‘Changement’, nous proposons un questions/réponses avec un psychologue qui vient de publier un livre sur le changement dans les entreprises.

15.

Segmenter, le maître-mot. Lorsqu’on aborde un seul thème en autant de pages, il est essentiel de segmenter le magazine. Faute d’un tel découpage en différents blocs, le lecteur aura l’impression de se voir servir les articles ‘à la chaîne’. Aucun rythme de lecture, et donc un risque de décrochage précoce.

La segmentation diffère d’un numéro à l’autre. Pour le numéro ‘Écoresponsabilité’, nous avons opté pour ‘Habiter’, ‘Manger’ et ‘Bouger’. Et pour offrir à cette structure une souplesse suffisante, nous avons intégré une quatrième section fourre-tout, baptisée ‘Et cetera’.